C’est de l’autofiction. Partir de la réalité souvent morne, l’arranger et l’embellir par les mots, pour qu’elle nous paraisse moins morte.

C’est d’une incapacité viscérale, liée à l’expression fluide et homogène des pensées et des moindres sensations, que jaillit toute écriture. Et c’est de cette aporie linguistique qu’est venue l’idée-besoin de tracer par des mots, ce qui m’échappe et échappe aux mots.

Des chroniques d’un être simple, à l’extrémité du banal. De tout ce qui existe au monde, rien ne l’attirait spécialement jusqu’à ce que…

Il y aurait peut-être un jour une composition strictement fictionnelle. Je ne le sais pas encore. sa venue est conditionnée à présent que par du néant.

 

 

Ceci-dit, évitez toute identification non réfléchie entre l’auteur ( moi) et les personnages. Déjà, cela nous vous ajoutera rien. Parfois, vous aurez raison. D’autres fois, vous aurez tord.

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